L’amour pour nos petits nous amène souvent à nous interroger sur les choses que nous pouvons faire pour les aider à grandir et à se développer de manière sereine et surtout saine, mais aussi sur les choses et les situations qui, au contraire, risquent de les effrayer et de les bouleverser.
Dans le passé, plusieurs études ont été menées sur le sujet, auxquelles se sont ajoutées des études plus récentes qui ont complété le tableau en clarifiant les doutes à son sujet. Eh bien, selon le monde scientifique et pédagogique, les nourrissons ne craignent que deux choses dès la naissance : le vide et les bruits forts.
Le reste des peurs et parfois des phobies que nous connaissons et qui sont répandues chez les adultes, ne sont donc pas présentes dans les premières années de la vie mais se développent plus tard dans la vie, et sont donc le résultat d’expériences, parfois négatives, qui se produisent plus tard.
Les chutes peuvent provoquer un traumatisme psychophysique
La peur du vide et de la profondeur est présente dès les premières années de la naissance et semble innée ; elle a également été observée chez certains bébés animaux, chez les nourrissons en particulier ; Conseil de voyance : il a été démontré qu’ils utilisent des plateformes sans bord et analysent leurs réactions sensorielles et émotionnelles. Il est donc utile de ne pas soumettre l’enfant à des situations dans lesquelles il risque de tomber en présence d’un vide, évitant ainsi les chutes qui peuvent entraîner un traumatisme psychologique en plus des traumatismes physiques.
Plus récemment, des chercheurs américains ont mené des recherches sur le réflexe de surprise acoustique chez les nouveau-nés, démontrant que la peur des bruits forts est présente dès la naissance comme un mécanisme de défense supplémentaire, provoquant des réactions psycho-physiques importantes proportionnelles à son intensité.
Dans ce cas également, il est donc conseillé de limiter les bruits forts et intenses, quelle que soit leur durée, surtout dans les premiers mois de la vie.
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